PROGRAMME*
Note : Toutes les séances de la conférence du CATON ont lieu au deuxième étage de l’Hôtel Sheraton Centre Toronto. |
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* Sujet à changement. |
8 h - 17 h |
Ouverture du bureau d’inscription
Se présenter au bureau pour prendre votre badge de la conférence, le programme final et la trousse d’inscription. |
10 h 45 – 12 h 10
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Mot de bienvenue et remarques d’ouverture
Dominic Giroux, Université Laurentienne, président et recteur (coprésident, CATON)
Glenn Craney, directeur exécutif, CATON
Séance plénière I – Transfert et mobilité d’un océan à l’autre : apprendre des autres provinces
Panélistes : Rob Fleming, directeur exécutif, BC Council on Admissions and Transfer; représentant du Alberta Council on Admissions and Transfer;
Ann Marie Lyseng, gestionnaire principale des parcours de l’apprenant au Secrétariat du Conseil des admissions et des transferts de l’Alberta
Dave Neale, directeur exécutif, Campus Manitoba;
Philip Bélanger, directeur exécutif, Conseil sur les accords de transfert du N.-B.
Modérateur : Glenn Craney, directeur exécutif, CATON
Ce panel comprend des leaders d’organismes provinciaux au Canada chargés de promouvoir le transfert et la mobilité des étudiants. Chaque membre commencera par faire un survol sur le transfert et la mobilité dans sa province et par présenter les initiatives et les recherches en cours. Les membres du panel discuteront ensuite des améliorations possibles au système de transfert et à l’expérience de transfert des étudiants au Canada. Le but de cette séance est de sensibiliser davantage les participants de la conférence aux efforts déployés partout au Canada concernant la mobilité des étudiants et d’encourager un débat sur les possibilités qui existent et les obstacles qui demeurent. |
12 h 20 – 13 h 20
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Dîner
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13 h 30 – 14 h 30
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Séances simultanées – Bloc 1 (séances de 60 minutes) |
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1A – Projets de parcours dans les études commerciales en Ontario, du démarrage à l’implantation
Mary Pierce, présidente, École des affaires Lawrence Kinlin, Fanshawe College et présidente, Ontario Heads of Business
Cette séance passera en revue l’évolution du projet des parcours dans les affaires, des étapes initiales à l’implantation des résultats du projet pilote relatif aux ententes à l’échelle de la province, en comptabilité, ressources humaines, marketing et administration des affaires. Il y aura une discussion sur le transfert du diplôme collégial de collège à collège et du diplôme collégial au baccalauréat. Le projet fait maintenant partie d’un projet pilote de mise en œuvre et les principaux aspects de ce projet pilote de mise en œuvre seront discutés. |
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1B – Ingéniosité scolaire et réussite des étudiants transférés – conclusions préliminaires
Deborah Kennett, professeure, Trent University;
Karen Maki, consultante en éducation postsecondaire et chercheuse;
Christopher Quinn-Nilas, étudiant diplômé, Trent University
Est-ce que les profils psychosociaux des étudiants collégiaux qui effectuent un transfert sont différents de ceux qui passent directement de l’école secondaire à l’université? Est-ce que les facteurs prédictifs de l’ingéniosité dans les études et des notes attendues sont différents pour ces groupes? Pour répondre à ces questions, des étudiants de l’Université Trent ont été invités à remplir une série de questionnaires bien au point qui évaluent l’ingéniosité générale et scolaire, l’auto-efficacité dans les études, le style pour expliquer les échecs, les raisons d’aller à l’université et l’adaptation à l’université. On a posé aux étudiants transférés une série de questions supplémentaires au sujet de l’expérience de transfert, la disponibilité de l’information et la satisfaction par rapport au nombre de crédits de transfert reçus. À cette séance, nous présenterons des résultats préliminaires sur les facteurs associés à l’adaptation et à la réussite dans les études, et nous verrons si ces facteurs sont différents pour les étudiants qui entrent directement à l’université en sortant du secondaire et ceux qui effectuent un transfert en provenance d’un collège ou d’une université. Les conclusions seront particulièrement intéressantes pour les membres du corps professoral, les conseillers et les professionnels des services aux étudiants qui mettent sur pied des programmes et des services pour les étudiants transférés. |
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1C – Réciprocité pour une réussite accrue des étudiants
Rebecca Jamieson, présidente et PDG, Six Nations Polytechnic;
Ron (Deganadus) McLester, directeur et conseiller spécial, Initiatives autochtones, Mohawk College;
Jeff Muzzerall, directeur, Relations avec les Autochtones, le gouvernement et la collectivité, St. Paul's University College à University of Waterloo
Six Nations Polytechnic (SNP) est un centre d’excellence d’enseignement aux Autochtones situé au cœur de la Première Nation la plus peuplée au Canada, en bordure de la rivière Grand, en Ontario. Considérant le mandat unique de SNP, les apprenants de SNP développent des connaissances et des compétences nécessaires pour être auto-suffisants, instruits et employables, tout en apprenant dans la continuité de la culture, des langues et des traditions Hodinohso:ni’ datant d’avant les États-Unis ou le Canada. À Six Nations Polytechnic, les apprenants de divers milieux font l’expérience d’un environnement d’apprentissage inclusif. La présentation de ce panel présentera les partenariats émergents pour les transferts de crédits entre cet institut Autochtone d’enseignement supérieur et les collèges publics et les universités en Ontario. On comprendra mieux l’approche de la durabilité de SNP à travers une réciprocité mutuellement bénéfique. On partagera les histoires menant à ces partenariats émergents, ainsi que des comparaisons pour envisager des transferts de crédits similaires dans d’autres provinces. Les partenariats visent à appuyer deux objectifs stratégiques d’éducation mutuellement bénéfiques, à savoir, augmenter l’engagement des peuples Autochtones dans les systèmes culturel, social et économique, ainsi que les structures qui soutiennent leur existence, et combler l’écart de connaissances et comprendre le fossé qui existe dans la société relativement aux peuples Autochtones au Canada. |
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1D – Utiliser le site Web ONTransfer.ca
Shauna Love, gestionnaire Marketing et Parcours étudiant, CATON
Vous voulez savoir comment chercher les possibilités de transfert des étudiants en Ontario? Cette séance vous montrera comment naviguer sur le site ONTransfer.ca et mettra en relief certaines de ses fonctionnalités clés, notamment les méthodes pour chercher des parcours et des transferts de cours et comment sauvegarder ces recherches. |
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1E – Le modèle de partenariat de York et Seneca : améliorer les parcours des étudiants
Henry Decock, vice-président associé, Partenariats académiques,
Seneca College;
Alice Pitt, vice-rectrice aux études, Université York ;
Karine Lacoste, directrice du partenariat York-Seneca, Université York et Seneca College
Depuis leur création dans les années 1960, l’Université York et Seneca College ont été des chefs de file dans le partenariat collège-université, en promouvant l’accès aux études postsecondaires au moyen d’une variété de programmes offerts qui soutiennent les parcours du collège à l’université, la mobilité des étudiants et un apprentissage continu. Ensemble, l’Université York et Seneca College comptent plus de 80 000 étudiants à temps plein par année. Les efforts combinés des deux établissements représentent une part importante des étudiants de l’Ontario. York accepte environ 1 000 étudiants effectuant un transfert du collège par année et plus de 400 diplômés de Seneca poursuivent leur études pour obtenir un baccalauréat chaque année. Les établissements sont engagées à aider les étudiants à atteindre leurs objectifs d’éducation et de carrière en offrant des parcours et des programmes qui élargissent le choix et la mobilité des étudiants et en faisant progresser les transferts collège-université plus largement à l’intérieur du système. Le partenariat est bâti sur les forces de chacun des partenaires, offrant des programmes conjoints intégrés et globaux pour fournir aux étudiants de l’ampleur et de la profondeur dans la recherche critique ainsi que les connaissances spécifiques et les compétences ciblées nécessaires pour réussir et contribuer à l’innovation dans l’économie du savoir. Les deux établissements se sont entendus pour partager les coûts d’un poste de directeur du partenariat à plein temps, qui soutient les groupes de travail pour cerner la priorité dans la programmation des études. Un comité de gouvernance a également été mis en place, comprenant respectivement le vice-président des études et d’autres administrateurs des études expérimentés pour chaque établissement. Cette présentation abordera comment la relation a évolué pour devenir ce qu’elle est aujourd’hui : un cadre de travail plus formel et un modèle éducatif collaboratif, et comment les parcours et les programmes pourraient servir de modèles à une coopération régionale entre secteurs. |
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1F – Résultats d’apprentissage et transfert de crédits
John FitzGibbon, directeur associé, Transfer and Articulation, BC Council on Admissions and Transfer (BCCAT)
Au cours de cette séance, on discutera de ce qu’on trouve dans les écrits sur l’utilisation des résultats d’apprentissage comme base de transfert de crédits. Les tendances actuelles en Europe, aux É.-U. et en Australie seront comparées aux modèles de l’Ontario et de la C.-B. Certaines des questions clés liées à l’utilisation d’un modèle de résultats d’apprentissage pour le transfert de crédits seront également abordées, ainsi que les possibilités dans l’avenir. |
14 h 30 – 14 h 50
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Pause-santé de réseautage
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14 h 50 – 15 h 50 |
Séances simultanées – Bloc 2 (séances de 60 minutes) |
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2A – Expérience des parcours, des métiers spécialisés aux technologies industrielles
James Galloway, professeur, Conestoga College
Est-ce que le soudage est un « métier » ou une « technologie » (ou y a-t-il des aspects des deux à l’intérieur de ce domaine)? Il s’agit là d’un débat animé depuis de nombreuses années dans le milieu du soudage et de la fabrication des métaux. Cependant, une personne choisissant un secteur ou l’autre crée beaucoup d’impasses professionnelles avec peu de possibilités d’éducation et de progression de carrière. Conestoga College travaille à établir plus de parcours sans heurts pour les étudiants intéressés spécifiquement dans la fabrication spécialisée des métaux et le secteur du soudage à l’intérieur du champ très demandé de la Technologie de génie du soudage, Inspection, Robotique et Automation du soudage. Selon notre expérience, certains des étudiants et diplômés qui réussissent le mieux dans nos programmes de technologie en ingénierie de 3 ans dans ce domaine ont commencé dans le milieu au niveau des métiers spécialisés. Tout récemment, nous avons entièrement intégré notre programme de certificat d’un an dans le développement des compétences de soudage de la 1e année de notre programme de 2 ans de technicien en soudage et fabrication et dans nos 2 programmes de technologie en ingénierie de 3 ans (Soudage et robotique et Inspection en soudage). Avec l’établissement de ce nouveau parcours, les étudiants seulement intéressés par l’aspect pratique du soudage au départ se retrouvent exposés aux aspects d’ingénierie et de technologie de cette industrie et ont l’occasion d’évoluer dans ce domaine. Dans ce secteur de technologie et dans bien d’autres, nous remarquons une tendance à « rendre la distinction floue » entre ce qui était traditionnellement considéré comme un métier, par rapport à la technologie en ingénierie. De bien des façons, cette tendance est menée par l’automation industrielle. Nous croyons que le système collégial peut offrir de meilleurs parcours entre ces voies professionnelles traditionnellement distinctes. |
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2B – Repenser le but et la conception des parcours
Leesa Wheelahan, professeure associée, OISE, Université de Toronto
Cette présentation rendra compte d’un projet de recherche australien de trois ans sur la manière d’améliorer les parcours des étudiants entre les collèges et les universités, à l’intérieur du marché du travail et entre l’enseignement supérieur et le marché du travail. Les principales conclusions sont que :
- La plupart des étudiants changent de champ d’études lorsqu’ils entreprennent un deuxième programme d’enseignement supérieur, mais cela varie selon le champ d’études;
- La structure des parcours que les étudiants suivent en réalité (qui diffère des parcours que nous créons) est liée à la structure du marché du travail et des types d’emploi qu’ils veuillent et qui sont disponibles.
La recherche a élaboré un nouveau modèle de parcours qui reflète ces différents buts et résultats. Il existe quatre types de parcours :
- La plupart des étudiants occupent des emplois liés à leur qualification et il y a des parcours professionnels forts. Par conséquent, beaucoup d’étudiants suivent ensuite une autre formation dans leur domaine (p. ex. en soins infirmiers).
- La plupart des étudiants occupent des emplois liés à leur qualification, mais il n’y a pas de parcours professionnel fort, et peu d’étudiants suivent une seconde formation dans leur domaine (p. ex. en ingénierie).
- Peu d’étudiants occupent des emplois liés à leur qualification, mais beaucoup d’étudiants suivent ensuite une autre formation dans leur domaine parce qu’ils ont besoin d’un diplôme pour avoir un bon emploi (p. ex. en commerce).
- Peu d’étudiants occupent des emplois liés à leur qualification et peu d’étudiants suivent ensuite une autre formation dans leur domaine (p.ex. en disciplines pures).
Au cours de la présentation, nous discuterons des conséquences sur la conception des qualifications et des parcours et sur la politique. |
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2C – Se servir des résultats d’apprentissage pour comprendre une science et la base des maths pour les diplômes de 1e cycle
Jill Johnson, conseiller en programmes, University of Guelph
À lire un « résultat d’apprentissage » ou une « norme de programme » de façon isolée, on pourrait penser que les mots se traduisent en un pour l’apprentissage étudiant d’une personne, mais cela peut conduire à se que l’on s’attende, à tord, à une compréhension en profondeur. En se servant de la compréhension de la science et des maths comme cas ou comme exemple, cette séance fera le point sur cette question, et se dirigera vers des résolutions (en découpant la questions en parties) et fera des suggestions pour aller de l’avant. En particulier, comment aborder la compréhension des maths et des sciences comme fondation dans des programmes techniques menant à un diplôme collégial si on la compare à la compréhension des maths et des sciences comme fondation dans des programmes menant à un baccalauréat? Nous devons aller d’une simple compréhension à une exploration des possibilités et trouver comment approcher les écarts. Un ensemble de sujets et d’idées sera rassemblé à l’issue de cette séance. |
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2D – Un modèle décentralisé de parcours éducatif
Wendy Asher, doyenne, École des services communautaires et des études libérales, Lambton College;
Kathleen Geelen-Cervi, conseillère, Développement de programmes et parcours d’études, Lambton College;
Karolina Kulinska, conseillère en parcours d’études, Lambton College;
Nadine Cervi, consultante en recherche de parcours, Lambton College
Le transfert des étudiants n’est pas un concept nouveau; cependant, ces dernières années en Ontario on a vu apparaître une conscience accrue chez les leaders institutionnels que nous devions faire davantage pour soutenir les cheminements éducatifs de nos étudiants afin que l’Ontario reste concurrentiel à l’échelle mondiale. Mettre l’accent sur ce besoin au niveau de l’enseignement peut représenter un défi lorsque les autres entendent parler des initiatives de transfert des étudiants et disent que « nous faisons déjà cela. » Ils ont raison – nous faisons des transferts d’étudiants depuis des années, mais ce que nous sommes appelés à faire maintenant, c’est développer des approches innovatrices pour augmenter les possibilités. En tant que petit collège rural, notre expérience est que la meilleure façon d’y parvenir est d’instituer une approche décentralisée qui se fonde sur les compétences de ceux qui ont l’expertise de faire progresser le dossier des parcours éducatifs. La création du Centre for Educational Pathways (CEP) de Lambton College a été fondée sur les prémisses que le centre dirigerait et soutiendrait les parcours éducatifs, mais ne dédoublerait pas les rôles et les services existants. Ce qui en est ressorti est une équipe qui apporte des points forts et des perspectives de plusieurs années. Venez découvrir la mobilisation des parcours éducatifs qui s’est produite sur un campus. Les participants à cette séance en apprendront davantage sur les possibilités, les réussites et les défis continus relatifs à un modèle décentralisé dans un petit collège rural. |
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2E – Améliorer la mobilité au niveau postsecondaire en Ontario : Les priorités des étudiants pour le transfert de crédits
Sean Madden, directeur exécutif, Ontario Undergraduate Student Alliance;
Tyler Epp, directeur de la représentation, College Student Alliance
Reconnaissant la tendance à l’augmentation de la mobilité des étudiants dans la province et les barrières auxquelles font face les étudiants de l’Ontario quand ils se retrouvent dans un système inconstant ayant souvent des politiques institutionnelles de reconnaissances des diplômes floues, l’Ontario Undergraduate Student Alliance et la College Student Alliance ont toutes les deux choisi l’amélioration du système de transfert des crédits de l’Ontario comme pilier de leurs efforts de sensibilisation au niveau provincial.
Cette présentation exposera les priorités communes des étudiants en ce qui concerne les possibilités de transfert que la College Student Alliance et l’Ontario Undergraduate Student Alliance préconisent depuis longtemps, explorera l’environnement de transfert de crédits actuel du point de vue de l’étudiant et partagera des recommandations sur les prochaines étapes à suivre pour réaliser un système de transfert de crédits performant et transparent pour les étudiants de l’Ontario. |
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2F – Échange Ryerson /York : Une initiative d’inscription conjointe
Alice Pitt, vice-rectrice aux études, Université York;
Chris Evans, vice-recteur aux études, Ryerson University;
Charmaine Hack, directrice générale des admissions et du recrutement et registraire de l’Université, Ryerson University;
Julie Parna, directrice, Initiatives d’éducation stratégiques, Université York
En juillet 2011, l’Université Ryerson et l’Université York ont signé le protocole d’entente interuniversitaire d’initiative conjointe d’enseignement et d’apprentissage (« l’Initiative Ryerson-York »), une entente historique, jetant les bases d’une collaboration interinstitutionnelle dans l’enseignement et l’apprentissage. L’Initiative Ryerson-York s’appuie sur l’engagement commun aux deux universités pour un enseignement d’excellence, une expérience des étudiants positive, une collaboration institutionnelle et un accès aux études postsecondaires. En particulier, l’entente vise à promouvoir la mobilité des étudiants et à améliorer l’expérience des étudiants en :
- Facilitant un meilleur accès aux étudiants de chaque établissement aux cours et aux programmes existants offerts à l’autre établissement;
- Permettant aux étudiants de chaque établissement de personnaliser leur expérience d’apprentissage grâce à un choix et une accessibilité accrus.
La présentation abordera les points suivants :
- Aperçu du partenariat Ryerson-York;
- Aperçu de l’initiative d’échange et d’inscription conjointe de Ryerson-York;
- Négociation du cadre de travail pour l’initiative d’inscription conjointe : nbre de crédits, réciprocité fiscale, soir par opposition à jour, communications/site web;
- Les étapes de York pour mettre en place les bases (aspects légaux, implantation du système, processus d’affaires, consultation du corps professoral);
- Les étapes de Ryerson pour mettre en place les bases (implantation du système, processus d’affaires, consultation du corps professoral, le volet de la Chang School);
- Points de discussion : cycles d’inscription, conversion des notes, intégrité des programmes d’études, pétitions;
- Zones grises : transfert de crédits – décision ponctuelle unique ou applicable à tous les crédits, deux cours dans un établissement équivalent à un cours dans l’autre – comment implanter, que faire avec les cours hors du processus d’inscription conjointe;
- Réponse des étudiants
- Transposition du projet – pouvons-nous le faire?
- Applicabilité pour l’avenir - Ontario en ligne?
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16 h – 17 h |
Séance plénière II – Système intégré ou beauté diversifiée : Articulation et transfert dans un contexte national
Patrick Deane, président et vice-chancelier, McMaster University
En évaluant l’objectif d’une mobilité étudiante aisée par rapport aux réalités de l’enseignement postsecondaire au Canada, Patrick Deane examinera les perspectives d’un protocole national sur l’articulation et le transfert. Comme membre de l’équipe de travail mixte ACCC-AUCC sur le transfert des crédits, il dressera le tableau sur le travail réalisé par l’équipe jusqu’à présent. |
17 h – 18 h 15
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Réception de réseautage
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À partir de 18 h 15 |
Participez au Souper à la ronde ou souper libre
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7 h 15 – 15 h 30
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Ouverture du bureau d’inscription |
7 h 30 – 8 h 30
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Déjeuner |
8 h 30 – 9 h 20
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Assemblée générale annuelle de CATON
Tous les délégués sont les bienvenus; il est demandé à chaque établissement de s’assurer que le membre votant au Conseil du CATON y participe.
Allocution du CATON – Glenn Craney, directeur exécutif
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9 h 30 – 10 h 30
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Séance plénière III : Transfert de crédits et transformations dans l’enseignement postsecondaire en Ontario
Marie-Lison Fougère, sous-ministre adjointe – Division des politiques stratégiques et des programmes, ministère de la Formation et des Collèges et Universités
Cette séance soulignera l’importance des transferts de crédits dans le programme gouvernemental relatif à l’enseignement postsecondaire. Une mise à jour sur les initiatives de transformation et la pertinence des transferts de crédits pour chacune d’elle sera discutée. Les jalons et les prochaines étapes pour l’Initiative des transferts de crédits en Ontario seront également présentés. |
10 h 30 – 10 h 50 |
Pause-santé |
10 h 50 – 11 h 20 |
Séances simultanées – Bloc 3 (séances de 30 minutes) |
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3A – Leçons apprises en développant le programme GAME de l’Université Brock et du Collège Niagara : Une approche de collaboration
Jeff Post, directeur, Qualité de l’enseignement, Niagara College;
Greg Unrau, directeur, Études des médias, Niagara College;
Jean Bridge, professeur, Brock University;
David Hughes, professeur, Brock University
Les programmes collaboratifs qui fusionnent les programmes collégiaux et universitaires visent à tirer pleinement parti des apprentissages techniques et théoriques de diverses manières. La création d’un programme collaborative fondamentalement intégré en conception de jeux, développement et programmation à Niagara College et à l’Université Brock a mis les partenaires au défi pour examiner et redéfinir de nombreux aspects de ce que l’on entend en Ontario par programme collaboratif. Les leçons apprises peuvent être appliquées à d’autres et sont prometteuses pour l’évolution et l’innovation des programmes collaboratifs. Cette présentation fait ressortir les possibilités et les obstacles aux programmes collaboratifs qui reflètent des différences dans les protocoles d’assurance de la qualité pour les collèges et les universités, le besoin de définir des séquences optimales d’apprentissage qui articulent bien les cadres théoriques et méthodologiques avec l’acquisition des compétences et l’intégration des connaissances et des compétences et les avantages de nouvelles approches pour établir les équivalences et les transferts. Des distinctions seront faites entre les types de programmes collaboratifs, en distinguant les programmes où les étudiants suivent des cours en bloc pour le trimestre ou simultanément dans deux établissements et les méthodes pour faciliter l’intégration de l’apprentissage. Le développement de l’initiative de l’Université Brock et de Niagara College a fourni des leçons précieuses dans la conception des programmes combinés collège-université, incluant la création et l’élaboration d’un programme d’études qui s’harmonise avec les normes du programme et les attentes des diplômes de 1e cycle, l’établissement de stratégies partagées pour l’assurance de la qualité, la définition de la gouvernance du programme partagé et l’implantation du partage de l’information, les mécanismes permettant l’innovation pédagogique (des stratégies communes pour des projets de cours intégrés) et le développement d’une approche de consortium à l’égard des technologies de l’information et la mise en place de l’informatique collaborative. |
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3B – Une étude comparative des facteurs de réussite des étudiants en commerce : Une initiative sur les parcours au Campus Brampton de l’Université Algoma
Aaron Gordon, professeur adjoint, Algoma University;
Henry Hornstein, professeur adjoint, Algoma University
L’initiative The Algoma University @ Brampton a commencé à l’automne 2006 avec l’introduction d’un deuxième programme accéléré de baccalauréat en sciences informatiques et ensuite, l’ajout du baccalauréat en administration des affaires en 2010. La programmation hors site était censée combler les besoins institutionnels d’augmenter les inscriptions et d’accroître la sensibilisation du public à l’établissement dans le Sud de l’Ontario. Très tôt, il avait été décidé que le programme d’études offert à Brampton serait adapté aux étudiants cherchant une passerelle entre leurs acquis, les étudiants qui effectuent un transfert à l’université et les étudiants collégiaux diplômés à la recherche d’une solution pour obtenir une reconnaissance de crédits sans heurts pour un baccalauréat. Le modèle de parcours déployé vise à rationaliser la transférabilité des étudiants, en s’assurant que les étudiants entrent généralement avec un nombre et une combinaison standard de crédits, ce qui garantit une facilité de planification des cours et un encadrement pédagogique. Avec trois ans de données sur la réussite des étudiants, cette séance présentera une étude comparative sur la réussite des étudiants grâce à l’initiative des parcours à Brampton. Plus particulièrement, une analyse comparée sur la réussite des étudiants collégiaux en affaires, ayant un diplôme collégial avancé de 3 ans, un diplôme collégial général de 2 ans et des diplômes hors du champs des affaires sera discutée. Cette étude amènera à réfléchir sur l’initiative de parcours de l’Université Algoma à Brampton et à mieux faire ressortir le soutien pédagogique nécessaire aux étudiants de l’Ontario pour faire une transition de parcours sans heurts entre les collèges et les universités de l’Ontario. |
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3C – Soutenir la réussite des étudiants transférés
Janice O’Farrell, directrice, Service aux admissions, Carleton University
Cette séance présentera les résultats d’un projet d’analyse comparative entrepris pour développer et améliorer les services de soutien qui répondent le mieux aux besoins des étudiants transférés. Le projet a été entrepris pour déterminer les caractéristiques et les besoins de services des étudiants transférés allant à l’Université Carleton et identifier les défis que ces étudiants rencontrent lorsqu’ils entrent dans leur programme de baccalauréat. Le projet incluait une analyse comparative des programmes existants dans d’autres établissements, des groupes de discussion avec des étudiants ayant effectué un transfert et une évaluation des services aux étudiants actuels offerts par rapport à leur pertinence pour les étudiants transférés. Les résultats de la recherche de l’analyse comparative ont été utilisés pour faire des recommandations qui, une fois implantées, viseront à répondre aux défis auxquels les étudiants transférés font face dans leur transition vers la communauté de Carleton. Se rapprocher des étudiants par des services coordonnés et bien ciblés aura des répercussions positives sur leur expérience de transfert, les aidera à maximiser leur temps en vue de l’obtention de leur bac et leur assurer la réussite de leurs études. |
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3D – Tenir compte de la culture de l’Internet pour les admissions et la mobilité des étudiants
Timothy Brunet, agent de recrutement étudiant, University of Windsor et membre de la direction, Consortium pancanadien sur les admissions et les transferts (CPCAT)
La publication amateur et l’Internet continuent à ajouter de nouvelles complexités à l’enseignement supérieur. Les responsables des politiques et les concepteurs de parcours auront l’occasion de se pencher sur la manière dont la culture de l’Internet continue à faire évoluer les politiques de l’enseignement supérieur relativement aux admissions et aux transferts. Cette séance invitante non technique donnera à l’auditoire l’occasion de considérer de nouvelles stratégies pour la collecte de données, la gestion du savoir et la transmission des connaissances dans le milieu de l’enseignement supérieur. Les membres de l’auditoire pourront transmettre leurs pensées (sur papier ou sur appareil mobile) tout au long de la présentation. Cette séance est une occasion de collecter de l’information qualitative sur les politiques parmi les collègues. Que vous soyez un « innovateur », un « suiveur assidu », un « traînard » (ou si vous ne savez pas ce que vous êtes), cette séance vous aidera à mieux comprendre la publication amateur, l’approvisionnement par la foule, le CLOM (cours en ligne ouvert et massif), et comment elle se rapporte à l’avenir des politiques des admissions et des transferts. |
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3E – Développer des parcours pour les programmes généraux en arts et sciences
Alice den Otter, vice-doyenne, Orillia Campus, Lakehead University Orillia;
Gillian Siddall, doyen du Dpt. Sciences sociales et Humanités, Lakehead University
Cette présentation fera un rapport sur le développement de parcours multilatéraux des programmes collégiaux de 2 ans, le programme général en arts et sciences et le programme en arts libéraux à Ontario College vers plusieurs programmes de l’Université Lakehead : le baccalauréat général de 3 ans en arts, le baccalauréat spécialisé en arts et sciences d’études interdisciplinaires de 4 ans et le baccalauréat en arts et sciences d’études interdisciplinaires de 3 ans. Bien que notre but initial ait été de n’utiliser que des résultats d’apprentissage pour créer des transferts en bloc qui donneraient presque deux ans de crédits, nous avons dû incorporer des évaluations de cours par cours également, afin de tenir compte de la variabilité des programmes collégiaux, satisfaire les demandes de rigueur académique provenant de l’université et aider l’admission des étudiants transférés.
Compte tenu que les programmes généraux en arts et sciences des collèges en Ontario sont relativement variables, notre approche a été de nous concentrer sur les éléments que ces programmes ont en commun, tels que l’ampleur des connaissances et des compétences et une ampleur minimale en dehors de quelques cours obligatoires ou à option par programme collégial. Étant donné les diverses limitations relatives à l’admission au programme de baccalauréat de l’Université Lakehead (telles que le nombre permis de cours d’introduction, l’inclusion des cours d’arts et de sciences, le nombre suffisant de cours de 1e année pour une spécialisation et des cours spécifiques axés sur la pensée critique et la recherche), les parcours que nous avons développés incluent un nombre de crédits de transfert de base correspondant à huit cours équivalent temps plein (ETP) — sous réserve que certaines conditions soient remplies — avec jusqu’à deux ETP supplémentaires possibles, en fonction d’autres conditions. Cette présentation traitera également des défis rencontrés comme meilleures pratiques potentielles concernant les transferts par bloc dans les programmes généraux. |
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3F – Faciliter la mobilité des étudiants au Canada : Projet de nomenclature des relevés de notes et transferts de crédits de l’ARUCC/du CPCAT
Joanne Duklas, directrice du projet et chercheure, ARUCC/ CPCAT Projet de nomenclature sur les relevés de notes et les transferts de crédits;
Karen Maki, associée de recherche principale et consultante en recherche, ARUCC/ CPCAT Projet de nomenclature sur les relevés de notes et les transferts de crédits
L’Association des registraires des universités et collèges du Canada (ARUCC) et le Consortium pancanadien sur les admissions et les transferts (CPCAT) ont lancé un projet de recherche pour étudier les pratiques de nomenclature des relevés de notes et des transferts de crédits utilisées dans l’ensemble du Canada. Il s’agit d’un projet pancanadien qui inclura les résultats des études existantes, telles que Credentialing Practices for Joint Programs du BC Council on Admissions and Transfer (BCCAT), publié en décembre 2013 (actuellement disponible en ligne à http://www.bccat.ca/pubs/jointprogramcredentialing_dec2013.pdf). Il comprendra également l’administration d’un sondage national auprès des membres de l’ARUCC et du CPCAT. La séance sera l’occasion de partager les derniers résultats de l’étude du BCCAT et des indicateurs préliminaires du projet national. Des résultats régionaux prometteurs seront présentés aux participants de la séance. Le but ultime de ce projet exhaustif est de créer un guide national sur les normes de nomenclature des relevés de notes et des transferts de crédits. Les résultats escomptés permettront notamment d’assurer une plus grande constance dans la communication de l’information sur les transferts de crédits, les échelles de notation et les données d’un établissement à l’autre et d’une province à l’autre. |
11 h 20 – 11 h 35 |
Se rendre dans les salles des prochaines séances |
11 h 35 – 12 h 5 |
Séances simultanées – Bloc 4 (séances de 30 minutes) |
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4A – Convergence des médias et des communications
Brian Brown, professeur adjoint, University of Windsor;
Valerie Scatamburlo-D'Annibale, chef du département, University of Windsor; Veronique Mandal, coordonnatrice, St. Clair College
Cette présentation expliquera en détail le processus par lequel le département de Communications, médias et films à l’Université de Windsor et le Programme de convergence des médias à St. Clair College ont commencé à élaborer une entente de transferts de crédits entre ces deux établissements situés à Windsor, en Ontario. Le département de Communications, médias et films offre deux filières : une qui est principalement axée sur les aspects théoriques des études de la communication critique et l’autre qui est davantage centrée sur la production, apportant aux étudiants les connaissances et les compétences pratiques impliquées dans la création des différentes formes de médias à l’ère numérique. Le programme de St. Clair College « fournit aux étudiants les outils polyvalents dont ils sont besoin pour être concurrentiels dans le milieu en constante évolution du journalisme et des communications. » Bien que connexes, les deux programmes sont uniques et offrent aux étudiants un ensemble de compétences particulières à chaque établissement. Le processus de négociation d’une entente de transfert entre les deux établissements a par conséquent été à la fois rempli de défis et stimulant. Au cours de cette présentation, nous décrions notre expérience à essayer d’élaborer une entente bilatérale de transfert de crédits dans l’espoir d’en étendre la portée à une entente multilatérale dans le futur. |
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4B – Mieux comprendre le parcours du transfert collégial dans une université bilingue
Alain Malette, registraire adjoint, Université d’Ottawa;
Johanne Bourdages, vice-rectrice associée aux études, Université d’Ottawa;
Sylvie Lamoureux, professeure associée, Institut des langues officielles et du bilinguisme de l’Université d’Ottawa;
Julie Beauchamp, vice-doyenne, École de gestion Telfer, Université d’Ottawa
L’Université d’Ottawa est le plus grand établissement d’enseignement postsecondaire bilingue en Amérique du Nord. Elle attire ses étudiants de premier cycle qui ont suivi des itinéraires scolaires très variés et viennent de partout au pays et même au monde. Ces étudiants sont inscrits dans les programmes de l’université en français, en anglais et au régime d’immersion en français, ce qui crée un campus d’une grande richesse sur le plan des études et de la culture. La province de l’Ontario a annoncé ces dernières années son désir de porter, d’ici 2020, de 63 à 70 % la proportion de sa population ayant obtenu un titre scolaire de niveau postsecondaire. Cependant, pour atteindre un but aussi ambitieux, les établissements doivent favoriser et appuyer davantage l’emprunt de voies non traditionnelles, telles que les transferts vers les collèges et les universités. Conformément à cet objectif, l’Université a récemment mis sur pied un projet à plusieurs facettes pour mieux comprendre l’expérience de transfert des étudiants collégiaux lorsqu’ils sont arrivés dans notre université. Le projet inclut des analyses quantitatives de données institutionnelles (à savoir, la provenance des étudiants, les programmes inscrits, crédits transférés, résultats à l’université par rapport aux pairs ayant suivi d’autres parcours) et une composante qualitative, des groupes de discussion et des entrevues avec des étudiants pour obtenir une meilleure compréhension de la façon dont ils vivent leur expérience de transition et d’intégration à l’Université d’Ottawa.
Cette présentation mettra l’accent sur les résultats préliminaires des analyses de données des deux composantes, déterminant comment elles façonnent nos actions futures. Nous présenterons également une nouvelle initiative lancée par notre École de gestion Telfer, qui vise à améliorer l’expérience des étudiants collégiaux transférés et à maximiser leurs chances de réussite. |
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4C – L’expérience étudiante du transfert – Une étude de cas à Algonquin College
Jo-Ann Aubut, doyen, Perfectionnement scolaire, Algonquin College;
Jeremy McQuigge, professeur, Algonquin College
Selon Colleges Ontario en 2011, 26 % des diplômés choisissent de poursuivre leurs études. Le nombre des étudiants diplômés inscrits à Algonquin College a augmenté de 40 % au cours des 5 dernières années. De plus, 60 % de la population étudiante à Algonquin est composée d’étudiants ayant une expérience postsecondaire antérieure. L’initiative d’expérience de l’étudiant transféré (TSE) à Algonquin vise à soutenir les étudiants qui ont effectué un transfert d’un autre établissement au début de leur premier semestre. De l’hiver 2013 à l’hiver 2014, le TSE a étudié la population des étudiants transférés, deux fois par session, utilisant des sondages basés sur des indicateurs et des évaluations. Pendant cette période, le TSE a sondé approximativement 240 étudiants ayant des niveaux variables d’expérience d’études postsecondaires. Le sondage vise à comparer le changement de comportement des étudiants transférés par rapport à leur comportement dans leur établissement précédent et à évaluer les changements de comportement au cours d’un trimestre à Algonquin.
Les sondages considèrent les facteurs comme l’engagement dans les études, l’engagement social et la détermination à atteindre leurs objectifs. Des résultats intéressants indiquent que les étudiants transférés ont :
- un niveau d’engagement dans leurs études qui est élevé, comme on le voit à travers l’obtention des notes affichant de meilleures moyennes, plus de temps consacré aux études, et
- une détermination à obtenir leur diplôme qui est élevée, avec 95 % des répondants indiquant qu’ils ont l’intention d’obtenir leur diplôme à Algonquin College, et qu’ils sont peu susceptibles de lâcher les cours advenant qu’ils rencontrent des facteurs extérieurs défavorables.
Cette séance offre la possibilité de découvrir et de partager les meilleurs pratiques pour motiver et soutenir les étudiants transférés. |
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4D – Passeports d’apprentissage électroniques et badges numériques – Il est temps de passer à un nouveau paradigme pour l’articulation et le transfert
Kevin Baker, doyen, École d’études interdisciplinaires et services à l’emploi,
Durham College
Il n’y a pas eu de progrès importants concernant la reconnaissance antérieure à l’apprentissage postsecondaire et il y a un besoin urgent pour développer des véhicules transparents, abordables et axés sur les étudiants. L’utilisation des vieux paradigmes qui existent depuis des décennies et le développement d’ententes d’articulation qui sont basées sur des relations personnelles entre les partenaires a conduit à des résultats imprévisibles. Cela signifie s’éloigner des évaluations ou des bases de données discrétionnaires et imprévisibles faite au cours par cours. Il est temps de passer à un nouveau paradigme plus prévisible et économique pour la reconnaissance des acquis dans les études postsecondaires. Le présentateur défendra l’adoption d’une technologie de badges numériques et de passeports électroniques pour tout le système et fournira des exemples concrets sur la façon dont ces technologies peuvent être utilisées pour transformées l’articulation et le transfert, et de fait, l’enseignement supérieur en Ontario et ailleurs. |
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4E – Une approche de collaboration : Développement d’une politique des admissions et des transferts de crédits
Samantha Murray, directrice, Admissions, University of Waterloo;
Eric Breugst, directeur, Conseil aux études, Faculté des arts, University of Waterloo
En 2013, la Faculté des arts et le bureau de registraire de l’Université de Waterloo ont créé un comité dans le but de réviser les pratiques d’admission en cours. Une attention particulière fut portée aux admissions des étudiants de collège effectuant un transfert et aux politiques de transfert de crédits. Cette séance présentera les étapes suivies pour créer ce comité spécialisé, collaboratif et faisant autorité. Les participants auront la possibilité de partager les expériences et les défis qui leur ont permis de créer ou d’adapter leur propre comité. Nous espérons qu’à travers cette séance, vous pourriez mieux comprendre comment effectuer des changements dans votre établissement. |
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4F – Un cadre de travail institutionnel visant à définir le développement des parcours
Victoria Baker, coordonnatrice des transferts de diplômes et de crédits, Seneca College
L’un des objectifs primordiaux de Seneca dans le cadre de son programme d’études de 2012 à 2017, est que « Définir des parcours clairs et efficaces fera partie de tout programme à Seneca. À cette fin, nous continuerons à solidifier nos collaborations institutionnelles, universitaires et collégiales, qui permettront d’aboutir à des ententes de transfert avec les universités et les collèges reconnus pour leur excellence ». C’est pourquoi, Seneca s’est fixé comme priorité de mettre sur pied un groupe de travail qui vise à s’assurer que ces buts soient atteints. Cette présentation sera axée sur les façons dont Seneca College utilise l’expérience et les données qu’il a compilé pour fournir le cadre de travail d’un développement futur des parcours. La discussion se fera autour des politiques et du développement du processus, et du rôle que joue le bureau des transferts de diplômes et de crédits, non seulement pour fournir des services aux étudiants, mais aussi pour soutenir nos champs d’études tout au long du processus d’articulation. Tirant parti des données statistiques qui ont été collectées sur des années, nous ne ferons pas que présenter comment cette information a montré où les parcours potentiels pourraient être élaborés, mais nous évaluerons aussi les points sur lesquels les parcours existants pourraient être révisés. |
12 h 5 – 13 h |
Dîner |
13 h – 14 h |
Séances simultanées – Bloc 5 (séances de 60 minutes) |
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5A – Descendre la rivière allant du diplôme collégial jusqu’au baccalauréat : Notes sur le voyage
Shelagh Towson, coordonnatrice, Parcours en services communautaires et sociaux, Département de psychologie, University of Windsor;
Betty Barrett, coordonnatrice des programmes de 1e cycle, École de service social, University of Windsor;
Debra Jozefowicz, coordonnatrice du programme d’études concernant les personnes handicapées, École de service social, University of Windsor;
Joy Kemble, coordonnatrice du programme (Accéléré) de travail auprès des enfants et des jeunes, St. Clair College;
Jennifer Williston, étudiante MSW, CYW, diplômée en études concernant les personnes handicapées, École de service social, University of Windsor
Les présentatrices de cette séance échangeront avec les participants sur diverses perspectives de leur voyage, à partir de nos premières ententes diplôme collégial-baccalauréat basées sur les cours dans le programme en Travail auprès des enfants et des jeunes, jusqu’au transfert par bloc et les parcours vers d’obtention du baccalauréat menant tous les deux vers un bac avec une forte affinité (Études concernant les personnes handicapées, Psychologie et Travail social) et d’autres bacs ès arts. En chemin, nous discuterons des façons dont elles ont navigué ou porté à travers les rochers, les rapides, les cascades et les tourbillons qu’elles ont rencontrés sur leur route. Elles souhaitent que les leçons qu’elles ont apprises au cours de leur voyage (p. ex. les « pour » et les « contre » des ententes ciblées ou plus générales, l’anticipation des points de friction entre les points de vues éducatif ou administratif, l’évaluation des variantes dans les programmes collégiaux) puissent être utilisées par les participants au cours de leur propre voyage vers une mobilité accrue des étudiants. |
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5B – Bonne recherche = relation de confiance : Comment la recherche sur la réussite des étudiants transférés renseigne sur le système de transfert en C.-B.
Rob Fleming, directeur général et coprésident, BC Council on Admissions and Transfer
« … le résultat le plus frappant est que les étudiants qui ont effectué un transfert et les étudiants qui entrent directement à l’université ont une moyenne de notes remarquablement similaire quand ils terminent, ce qui montre que le système de transfert fonctionne : il fournit un accès aux étudiants qui, au bout du compte, réussiront. » -- Ashley Lambert-Maberly, profil parmi les étudiants de collège ayant effectué un transfert en B.-C. et admis à University of BC de 2003/2004 à 2007/2010
Le système de transfert de la C.-B. existe depuis plus de 50 ans et le BC Council on Admissions and Transfer (BCCAT) fonctionne comme organisme formel depuis 25 ans. Selon toute mesure, le système a atteint sa maturité — tout en gardant sa capacité de flexibilité et d’innovation au fur et à mesure que la portée et la complexité du système ont pris de l’ampleur. La raison en est simple : le système est basé sur la confiance. Les établissements collaborent volontiers pour fournir un accès à tout un éventail d’étudiants et pour accommoder des parcours d’éducation structurés ou non, nécessaires aux étudiants pour qu’ils atteignent leurs buts. Bien entendu, une culture de confiance parmi divers établissements — chacun avec des groupes diversifiés d’éducateurs et de pratiques — repose sur plus qu’un simple énoncé de principe. En C.-B., un niveau élevé de confiance est basé sur un niveau élevé de compréhension, supporté par un dialogue régulier et ouvert entre les éducateurs, et un niveau élevé de preuve empirique supportée par une recherche continue sur les modèles de mobilité des étudiants transférés et la réussite scolaire. Cette séance étudiera les principaux secteurs de la recherche continue sur les expériences et la réussite des étudiants transférés que le BCCAT effectue ou facilite pour soutenir la discussion basée sur des preuves au sein du système en C.-B. La présentation sera axée sur les rapports de rendement des étudiants transférés, les sondages des étudiants transférés et les analyses à l’échelle de tout le système sur la rétention des étudiants et l’obtention des diplômes. |
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5C – Des parcours ont été créés – Et maintenant? (discussion dirigée dans le cadre d’une table ronde)
Facilitatrices : Lynn Charron, conseillère pédagogique, soutien aux étudiants transférés, University of Windsor;
Karolina Kulinska, conseillère sur les parcours d’éducation, Lambton College;
Nadine Cervi, consultante en recherche de parcours au Centre pour les parcours éducatifs, Lambton College
Bâtir des parcours est clairement un élément important dans la réussite de l’expérience de transfert des étudiants, mais il est également essentiel que les besoins de ces étudiants dans leur transition d’un établissement à un autre ne soient pas oubliés. En tant que professionnels travaillant directement à développer et faciliter des programmes et des services pour les étudiants effectuant un transfert, nous vous demandons de venir préparés pour discuter d’exemples spécifiques de stratégies, d’outils, de ressources, de programmes, etc. que vous utilisez pour aider les étudiants qui transfèrent vers et hors de votre établissement.
Cette présentation se déroulera sous forme d’une table ronde dirigée pour permettre à tous les participants de partager leurs meilleures pratiques, mais nous commencerons en expliquant comment notre communauté de pratiques nous a permis de former des liens plus solides avec les collègues des établissements partenaires et nous partagerons quelques stratégies précises dont nous nous servons pour soutenir les étudiants. Nous espérons que tous les participants sortiront de cette présentation en ayant accompli ce qui suit :
- Avoir pris conscience des ressources que les autres établissements utilisent pour aider l’orientation, la préparation et le soutien continu des étudiants dans le cadre de leur transition.
- Acquérir une compréhension de ce que font les collèges et les universités, afin que nous adaptions nos façons de faire pour compléter nos meilleures pratiques réciproques.
- Partir avec de nouvelles idées à propos des manières de soutenir le transfert, autant du point de vue du collège que de celui de l’université.
- Partager le bon, le mauvais, les outils performants et non performants que nous avons utilisés pour soutenir nos étudiants transférés.
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5D – Littéracie des transferts : Évaluer les symétries et les asymétries de l’information
Christine Arnold, aspirante au doctorat, OISE, Université de Toronto
Tandis que les fondements de la structure du système de transfert de crédits de l’Ontario (partenariats, modèles et programmation innovatrice) ont reçu une attention particulière du gouvernement, des agences et des administrateurs, celle du développement du système de transfert de l’information a été limitée. Le traitement et la transmission, la sélection, l’organisation, la réduction et la conceptualisation de l’information sont importants s’il doit y avoir une compréhension commune ou «littéracie des transferts » parmi les intervenants. Cette étude multidimensionnelle examine jusqu’à quel point le système de transfert de l’information du collège vers l’université est efficace et identifie les symétries dans la compréhension de ce processus chez les intervenants. Les résultats de la recherche indiquent que les perceptions erronées proviennent en grande partie des variations dans les politiques et les procédures administratives. Par exemple, l’obtention des dossiers scolaires par l’administrateur et l’étudiant et le déchiffrage de la valeur des crédits/des crédits horaires, des crédits génériques/non assignés/non spécifiés, les exclusions/exemptions et les calculs de la moyenne cumulative pondérée ont été cités comme sources de tension. De même, le diplôme et les exigences des programmes, les retours d’appel et les délais pour déclarer la majeure et la mineure de leur programme demandent une sensibilisation accrue chez les étudiants.
Les recommandations comprennent :
- Une base de données consultable centralisée pour vérifier les inscriptions précédentes des étudiants et un archivage électronique des plans de cours,
- Un affichage public des politiques concernant l’évaluation des crédits des diplômes techniques,
- Des règlements reconnus relatifs aux études pour tout le système,
- Une plus grande promotion des conseillers d’orientation au secondaire comme canaux de diffusion de l’information,
- Une terminologie normalisée du transfert de crédits, et
- Une communication de l’information sur l’application des crédits reconnus avant l’inscription à l’université.
Les participants qui assisteront à cette séance se familiariseront avec les politiques et les procédures de transfert de crédits du collège à l’université dans les établissements de l’Ontario, discuteront de stratégies de transmission de l’information pendant l’admission et l’inscription et de leur portée, se pencheront sur l’engagement des administrateurs vis-à-vis des étudiants, des départements et des établissements et réfléchiront sur des modifications de micro et de macro politiques pour améliorer l’expérience de transfert de crédits des étudiants. |
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5E – Mise à jour du Conseil sur les accords de transfert du N.-B. – Un modèle provincial pour reconnaître l’apprentissage des Néo-Brunswickois actuels et futurs
Philip Bélanger, directeur exécutif, Conseil sur les accords de transfert du Nouveau- Brunswick (CATNB)
Cette séance fera part des progrès réalisés à ce jour au Nouveau-Brunswick relativement au plan d’action du gouvernement pour améliorer la mobilité des étudiants grâce au transfert de crédits et à la reconnaissance des acquis. Avec l’établissement du CATNB et du Groupe de travail sur l’évaluation et la reconnaissance des acquis du Nouveau-Brunswick (ERANB) en 2010, les établissements d’enseignement postsecondaire du Nouveau-Brunswick et d’autres intervenants ont joint leurs forces pour faciliter la mobilité des étudiants. Les échanges entre les établissements d’enseignement postsecondaire ont également mené à la création du Portail du Nouveau-Brunswick sur les ententes interétablissements de reconnaissance d’unités de cours, conçu pour simplifier le processus de recherche de reconnaissances des formations antérieures. Le Portail visait tout d’abord à donner de l’information sur le transfert de crédits au sein des établissements du N.-B. et s’est développé pour y inclure les établissements en dehors de la province et du pays par la suite.
Depuis la création de l’ERANB il y a eu des progrès importants, notamment plus de sensibilisation, une meilleure compréhension et un usage commun des meilleures pratiques et des outils partagés sur l’évaluation et la reconnaissance des acquis (ERA) au Nouveau-Brunswick. Les occasions de collaboration au niveau de l’évaluation et du service à la clientèle ont mené à la création d’une approche provinciale coordonnée pour l’évaluation et la reconnaissance des acquis (à la fois formelle et informelle), dans le milieu des études, de l’emploi et des secteurs règlementaires. Ceci a conduit à des économies de temps et d’argent pour les personnes concernées, les organismes et les professionnels. Les employeurs pourront mieux évaluer les aptitudes des employés actuels et des futurs, incluant les Autochtones, les personnes handicapées et les nouveaux arrivants, afin de les classer en fonction de la valeur réelle de leurs compétences. |
14 h – 14 h 15 |
Pause-santé de réseautage |
14 h 15 – 15 h 15 |
Séances simultanées – Bloc 6 (séances de 60 minutes) |
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6A – Politique de transferts de crédits dans un environnement comptant plusieurs campus : Discussion dans le cadre d’une table ronde
Facilitateur : Jonathon Penny, coordonnateur des transferts de crédits, Wilfrid Laurier University
Cette table ronde rassemblera des représentants de Laurier, York, Toronto et d’autres établissements où l’on s’intéresse à discuter des approches de politiques et de pratiques de transfert de crédits dans des environnements comptant plusieurs campus, en particulier lorsque ces campus ont des programmes, des forces ou des cultures distinctes. Parmi les questions discutées, nous aborderons celles-ci :
• Quels sont les défis particuliers que rencontrent les établissements ayant plusieurs campus lorsqu’ils veulent établir et maintenir des politiques institutionnelles cohérentes?
• Comment les établissements ayant plusieurs campus peuvent-ils tirer parti de la situation lorsqu’ils abordent les initiatives, directives et mandats gouvernementaux, en ce qui concerne les équivalences multilatérales et les parcours du collège à l’université?
• Comment ces établissements peuvent-ils impliquer des programmes, des facultés et des chefs institutionnels pour façonner des politiques et des pratiques de transfert de crédits qui soient compatibles avec les besoins autant qu’avec les objectifs institutionnels?
Les participants débattront également de sujets pertinents à la politique de transfert de crédits en général : la nécessité et le désir d’ententes d’articulation, le rôle des établissements d’enseignement postsecondaire pour informer sur la politique provinciale, les initiatives provinciales et institutionnelles en réponse aux pressions du marché et l’impact potentiel d’options de transfert de crédits plus libérales et plus larges sur la santé des établissements et les possibilités offertes aux étudiants. On s’attend à ce que les participants et aussi les personnes présentes tirent profit de cette échange en accroissant la compréhension mutuelle et en explorant des occasions de coopération intéressante et constructive. |
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6C – Projet de réussite en ingénierie C2U – Leçons apprises
Alan Murray, directeur général, Partenariat McMaster-Mohawk du baccalauréat en technologie
Le 23 octobre 2013, plus de 100 représentants provenant de 15 collèges et 12 universités partout en Ontario se sont rassemblés à McMaster pour la première conférence à vie, intitulée : College to University (C2U) Success Conference, organisée par le Partenariat McMaster-Mohawk du baccalauréat en technologie (B.Tech). La conférence faisant partie intégrante d’une histoire de réussite, axée sur le programme phare du partenariat menant à l’obtention d’un bac pour des diplômés collégiaux, et a été financé par une subvention institutionnelle du MFCU pour le transfert de crédits. Alan Murray, le directeur général, décrit comment le B.Tech. a fait la transition entre des ententes d’articulation individuelles à une entente multilatérale de transferts de crédits par bloc pour des diplômés de programmes collégiaux standard. Avec plus de 125 parcours publiés, disponibles sur ONTransfer.ca, le B.Tech. est l’un des programmes en son genre les plus importants en Ontario. Comptant plus de 800 étudiants pendant la période de 2006 à 2012, le C2U Success project a considéré les parcours des étudiants dans le programme (à savoir, C2U, U2C2U, etc.), la corrélation de facteurs externes, tels que les délais entre le collège et l’université, ainsi que la vitesse d’apprentissage (temps plein c. temps partiel). Les participants à la séance pourront approfondir leurs connaissances sur les divers parcours qui ont été suivis par les étudiants avant et après le programme B.Tech.
Les sujets incluront l’évolution du programme B.Tech., une analyse de la réussite par le programme qui alimente le collégial, des segments du vidéo d’un panel d’étudiants et d’anciens étudiants qui a été filmé à C2U Success Conference. En outre, la présentation couvrira les divers défis rencontrés liés à l’accès, l’organisation et l’analyse des données d’un programme qui ne suit pas le modèle traditionnel des programmes universitaires. |
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6D – Le développement et la possibilité d’un baccalauréat d’un programme informatique collégial à un programme de transition universitaire à l’Université de Guelph
Gerarda Darlington, vice-doyenne (Études), University of Guelph;
Greg Klotz, Conseiller programmes de 1e cycle, University of Guelph;
Deborah Stacey, vice-doyenne, Recherche et études des cycles supérieurs, University of Guelph;
Donna Reimer, conseillère aux admissions, University of Guelph
Nous décrirons la création d’un nouveau programme de baccalauréat en informatique à l’Université de Guelph, qui est un programme passerelle du collège à l’université, en commençant par les consultations initiales et en concluant avec la diplomation des premiers étudiants du programme. Les consultations initiales ont été axées sur le développement du programme de cours et l’analyse des écarts de connaissances des étudiants. Nous avons travaillé pour créer de nouveaux cours « passerelle » pour nous assurer que les étudiants du collège étaient préparés à prendre des cours de niveau universitaire, tout en faisant en sorte qu’ils reçoivent le maximum de crédits universitaires pour leur diplôme collégial. Parmi les défis que nous avons surmontés, nous avons dû : comparer les cours collégiaux et universitaires et les méthodes d’enseignement, créer de nouveaux cours pour combler les fossés dans les sciences informatiques théoriques, régler le problème du moment où ces cours étaient offerts pour les étudiants qui avaient effectué le transfert du collège à l’université, s’assurer que les étudiants remplissaient les critères d’admission qui s’appliquent à tous les postulants, faire la promotion du programme pour les étudiants potentiels et s’assurer que les étudiants faisaient une transition sans heurts lorsqu’ils arrivaient dans notre établissement. Maintenant que les premiers étudiants du programme sont sur le point d’obtenir leur diplôme, nous apportons le point de vue des doyens, des professeurs, du personnel de l’admission, des conseillers pédagogiques et des étudiants qui ont terminé notre programme passerelle. Les exemples sont centrés sur le projet pilote de Fanshawe College et de l’Université de Guelph, mais seront décrits de manière à les rendre pertinents pour n’importe quel établissement qui prévoit de créer une nouvelle initiative de parcours. |
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6E – Résultats après les études de diplômés universitaires : Établir des liens entre les données
Ross Finnie, professeur, Université d’Ottawa/Initiative de recherche sur les politiques de l’éducation
Cette présentation traitera des résultats d’un projet récent qui s’est penché sur l’exploitation de données uniques reliant des données universitaires administratives sur les étudiants avec des données fiscales, permettant aux chercheurs de suivre les étudiants depuis leurs parcours d’études postsecondaires (ÉPS) jusqu’à leurs résultats sur le marché du travail, suite à l’obtention de leur diplôme d’études des cycles supérieurs. Ces données jumelées nous ont permis de voir comment les étudiants ayant différents antécédents d’études réussissaient dans le milieu du travail, et de le faire sur une base annuelle après l’obtention de leur diplôme, sur toute une série de cohortes continues de diplômés, entre les années 1997 et 2010.
Cette présentation étudiera les questions de recherche suivantes :
- Quels sont les taux d’emploi et les niveaux de rémunération des diplômés universitaires sur une base annuelle?
- Quelles sont les divergences de ces profils par champ d’études?
- Comment ces relations ont-elles changé avec le temps, incluant au moment de la crise de 2008?
- En quoi les résultats sont-ils différents pour les hommes et les femmes?
Quelle est la distribution des résultats – c.-à-d. à quoi ressemblent ces modèles pour ceux qui performent le mieux sur le marché du travail, ceux qui sont au milieu et ceux qui réussissent le moins bien? |
15 h 30 – 15 h 45 |
Mot de la fin
Don Lovisa, président, Durham College (coprésident, CATON)
Glenn Craney, directeur exécutif, CATON |
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